Erwan LARHER pour « Le livre que je ne voulais pas écrire » (Quidam éditeur).

Entretien avec Erwan LARHER pour son roman « Le Livre que je ne voulais pas écrire » (Quidam éditeur, 2017).

Pour écouter l’émission

 

Dans « Le Livre que je ne voulais pas écrire », Erwan LARHER raconte la soirée du 13 novembre 2015. En effet, l’auteur avait décidé de se rendre au concert des Eagles of Death Metal, au Bataclan, à Paris. »A partir de là, ce n’est plus ton histoire. Plus seulement ton histoire. » Survient alors un des attentats les plus meurtriers perpétrés en France depuis 70 ans. Trois hommes armés entrent alors, ce soir-là, dans la célèbre salle de spectacle parisienne et ouvrent le feu sur les personnes qui s’y trouvaient. « Ce n’est pas le témoignage d’Erwan Larher qui est important, c’est ce que le seul écrivain présent ce soir-là au Bataclan en ferait s’il s’attaquait au sujet » (p. 37). Erwan LARHER est né à Clermont-Ferrand – hasard d’une affectation militaire paternelle. Un jour, suite à ce qui pourrait ressembler à une crise de la trentaine, il quitte l’industrie musicale dans laquelle il travaille pour se consacrer à l’écriture. Mais continue à écouter du rock avec plein de guitare dedans, écrire des paroles de chansons, des séries TV et jouer au squash. Récemment, il s’est aussi lancé dans la déraisonnable aventure de réhabiliter un ancien logis poitevin du XVe siècle pour en faire une résidence d’écriture. Après Qu’avez-vous fait de moi ? et Autogénèse (Michalon, 2011, 2012), il a publié L’Abandon du mâle en milieu hostile , Entre toutes les femmes (Plon, 2013 et 2015), Marguerite n’aime pas ses fesses (Quidam éditeur, 2016) et Pourquoi les hommes fuient ? (Quidam éditeur, 2019). L’Abandon du mâle en milieu hostile a reçu les prix Claude-Chabrol et Louis-Barthou (de l’Académie française) en 2013.

Un entretien enregistré le 17 décembre 2019,à Dijon, alors qu’Erwan Larher était l’invité du Club des Écrivains de Bourgogne.

Lien utile :

Site d’Erwan Larher.

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1 réponse

  1. ghislaine viton dit :

    25ème heure du livre Le Mans
    Merci pour ce très bon récit de l’inimaginable

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